Marie-Laure, s’en souvient bien« En mars 2020, je n’ai pas eu peur, nous avions que très peu de cas. Pour moi, cela ne valait pas la peine de dévaliser le papier toilette dans les magasins. La deuxième vague en automne était plus tendue. Monsieur Berset avait promis l’armée pour nous aider. Elle n’est jamais venue. Je n’en veux pas à ma hiérarchie, mais je suis fâchée contre les politiques. Il n’y avait plus assez de personnel. On se retrouvait toute seule avec des moyens rudimentaires. C’est une période qui me révolte beaucoup ! »
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